Nom complet : Sean Aymeric Finley Müntefering
Nom : Finley Müntefering
Prénom : Sean Aymeric
Surnom : Seanny ou totu autres trucs qui pourrait vous passez par la tête!
Âge: 19 ans
Date de naissance et lieux de naissance : 31 juillet | En bordure de Black Forest, Schwarzwald, Allemagne
Vos origines : Allemandes et Canadiennes-françaises (Manitoba)
Langues parlées : Malgré que sa langue maternelle soit l'allemand, Sean connaît également les deux langues officielles du Canada : le français et l’anglais qu'il maîtrise parfaitement. Aussi, il a dut apprendre le langage des signes qu'il connaît depuis environ cinq ans.
Clan : Neutre
Famille : Sean ne connaît pas vraiment ses parents : sa mère étant décédée le jour de sa naissance et son père, il ne l'a pas revu depuis qu'il eut ses dix ans. Celui-ci doit sûrement être en train de vider les bars du Manitoba. Son frère aîné Lucas, quant à lui, est rendu à New York City dans l'un de ses gros buildings boursiers en stage dans l'espoir d'avoir l'emploi. Donc Sean lui, il vit dans le sous-sol de la maison en banlieue d'Acadia de sa grand-mère sourde.
Caractère : Le caractère du jeune homme est misé beaucoup plus sur la défensive. Pourquoi? Parce qu’il a peur qu’on découvre ses points faibles. Lorsqu’il est avec ses amis, il peut très bien être le pire des crétins qui a toujours un sourire qui flottant sur ses lèvres ou une petite réplique tout à fait inutile à dire. La présence de ses potes lui permet de le laisser aller : de laisser aller la pression et les responsabilités qu’il a en plus, ils lui permettent d’être plus lui-même car lorsqu’il est avec d’autre personne qui lui sont étrangères il devient presque asocial. Sous cette carapace, le jeune homme est quelqu’un aimant rendre service à ceux qu’il considère comme ses proches. Pas étonnant que lorsqu’on réussit à avoir sa confiance il laisse tomber ses airs de mauvais garçon pour laisser place à quelqu’un de beaucoup plus sensible et plus attachant. De plus, lorsqu’il a le coup de foudre pour une fille, il devint un Roméo en herbe, c’est-à-dire qu’il tombe dans le romantisme. Contrairement à se qu’on pourrait croire, le jeune Sean est un pacifiste né. Il va loin des ennuis et des bagarres mais lorsqu’il est prit au beau milieux d’une - ou bien ses amis - il sait comment sortir les poings. Le sourire peut facilement atteindre ses lèvres puisqu’il n’est pas quelqu’un de difficile à faire vivre. Une ligne de coke par-ci par-là, une fin de semaine de camping, de bonnes soirées dans des boîtes de nuits plus une répétitions avec le groupe et Sean est heureux.
Description physique : N’étant pas le plus imposant des hommes, Sean est de taille assez respectable et d’un poids relativement santé pour quelqu’un de sa stature. Bon, il est loin d’être monsieur muscles mais n’empêche que cet allemand a une taille svelte sans un centimètre de gras. Il a quand même quelques muscles non-développés par contre, se qui n’altère en rien sa silhouette qui lui donne l’air chétif- ce qui n’est pas le cas, bien entendu. Ayant les cheveux mi-long de couleur châtain avec des reflets plus clairs et plus foncés à certains endroits, ceux-ci font un jolis contrastent avec ses yeux bleus comme les ciels d’été. Ses cheveux ne sont jamais coiffés - pertes de temps selon lui - et donc, pour la plupart du temps ils sont en pèle-mêle sur sa tête ce qui lui convient parfaitement. Côté vestimentaire, Sean ne se prive pas de montrer son petit côté rebelle : la plupart du temps ses vêtement sont déchirés aux genoux et au mi-tibia se qui laisse donc apercevoir les jambes du jeune homme. Portant aussi pour la plupart du temps des t-shirt avec un tas de design tous plus imprécis les uns que les autres.
Histoire : Pour certains, les amis et la famille sont leur vie, pour d’autre c’est la musique ou l’argent qui compte. Pour une grande partie de la population même si elle ne veut pas ce l’avouer est la réussite scolaire ou professionnel. Bien, pour notre petit Sean Finley, sa raison de vivre est la musique et ses amis.. La famille n’a jamais été une grande priorité pour lui, car comme plusieurs personnes dans se bas-monde, sa vie familiale n’est pas rose par contre elle ne nécessite pas l’accompagnement des violons. Malgré le fait qu’il est très proche de son frère et de sa grand-mère, s’il leur arrive quelque chose - oui il va être triste et tout le tralala - mais il ne cessera pas de vivre pour autant. En gros, si vous lui confisquez tous ses CDs et son impressionnante collection de vinyles en plus de l’empêchez d’aller voir ses amis, alors là vous allez cous retrouver avec un type vachement malheureux. Bref, commençons l’histoire par le commencement...
C’était une belle et calme journée d’été, un 31 juillet pour être plus précis. Un jeune couple : Benjamin Finley et Lili Müntefering, le premier originaire du Manitoba, Canada et la deuxième de Dusseldorf, Allemagne. Le couple était en pleine semaine de canoë-camping avec des amis. Tout se passait bien, et malgré le fait qu’elle soit enceinte de six mois, la jeune femme se portait plus que bien et était capable de suivre les autres lors des portages, et Dieu sait à quel point il y en avait! La soir arriva et le petit groupe de huit personnes - tous des couples - érigèrent leur camp non loin de l’une des seules routes passantes du coin, au cas ou. Le dîner se réchauffait lentement au dessus du feu de camp au moment ou ça arriva : les contractions. Quatre mois à l’avance, vous parlez d’une malchance! En fait, c’était ce que tout le groupe pensait, mais plus en particulier le père du bébé à venir. Alors que tout le monde s’affairait à plier bagages, Benjamin prit sa femme dans ses bras et la souleva et se mit à courir en direction de la route.
C’était en criant à qui voulait l’entendre que Ben réussit à faire arrêter la voiture d’un couple. Comme par miracle, l’un des deux occupants de la voiture était infirmier. Ce fut donc lui qui mit au monde le petit gamin : sur le bord d’un autoroute. Tandis que Benjamin pétait pratiquement un câble en hurlant sans arrêt, l’ambulance arriva finalement au bord de Black Forest et emmena la mère et le bambin tout rose. Ce ne fut que rendu à l’hôpital que les grandes complications arrivèrent : Lili perdait du sang, beaucoup trop de sang. Sean, qui n’avait pas encore de nom dans se laps de temps, était placé sous haute surveillance dans un petit incubateur pour lui facilité la respiration. Il prit beaucoup de temps aux docteurs et infirmiers pour se rendre compte du problème de la mère. Tellement de temps, que lorsqu’ils décidèrent enfin de l’aider, elle avait perdu conscience. Ils ne purent rien pour elle : l’incompétence d’une infirmière coûta la vie à la jeune femme mère de deux enfants. L’état mental de Benjamin en prit un sacré coup, il était devenu dépressif. Il ne voulait plus rien savoir de ses enfants, mais son côté paternel réussissait toujours à prendre le dessus. Par contre, quel est le pire ennemi de la dépression? L’alcool et les autres dépresseurs bien entendu!
Après trois semaines à l"hôpital de Schwarzwald, qu’un père en peine quitta avec un Sean Finley encore tout innocent dans les bras. Bon, il faut avouer que même lorsqu’il sorti de l’établissement de santé, le gamin n’avait pas encore de nom, ce fut ses grands-parents qui lui trouvèrent car au rythme ou ça allait, le gamin se serait peut-être nommé Molson comme la bière favorite de son père. Ce fut donc dans un appartement pas très spacieux - un deux pièces - que grandit deux garçons, l’aîné de quatre ans plus vieux. Partageant tous le même lit - du moins, lorsque Sean fut en âge de dormir dans un véritable lit et non dans un berceau -dut aux faible revenu financier du père qui était un simple chômeur qui vivait aux crochets du gouvernement Allemand. Certes, il ne prit que quelque temps avant que la société Allemande se rende compte que le père n’avait pas la nationalité du pays. En fait, Sean put vivre dans se pays en bon huit ans, avant de déménager avec son oncle Richard qui vivait au Manitoba. Là-bas le même train-train reprit. Rouler le gouvernement Canadien, trouver une gardienne très canon pour les deux gamins, fréquenter cette gardienne pour plus de bénéfices, et boire de l’alcool. Mais au moins, il y avait Richard qui pouvait parfaire l’éducation des deux gosses! Une chance car sinon, Sean et Lucas n’auraient jamais eut l’habitude de prendre une douche à tout les deux jours minimum! Imaginez ensuite tout les trucs que leur oncle à dut leur apprendre...
Il ne prit pas beaucoup de temps avant que ses grands-parents du côté maternelle ne réussissent à prendre en charge les deux enfants. En fait, c’était plutôt un imprévu. Alors qu’il s’agissait du dixième anniversaire de Sean et que sa petite voisine lui avait offert un petit présent bien simple - Disons que malgré ses dix ans, il avait depuis un moment le coup de foudre pour cette petite brunette! - Seanny trouva son père saoul, couché sur son lit avec le résultat d’une gueule de bois au sol. Voulant rendre service, le gamin entreprit de ramasser le dégât et d’enlever les chaussures sales de son père. Oops, mauvaise idée. Alors qu’il n’enlevait que la première chaussure, Benjamin se réveilla et de son haleine fétide demanda à son fils ce qu’il pouvait bien fabriquer. Presqu’aussitôt, l’adulte remarqua le présent sur la table de nuit, ce fut alors qu’il demanda : « C’est aujourd’hui ta fête? Ah, j’ai encore oublié de t’acheter un cadeau mais c’est difficile de fêter parce que c’est quand même aujourd’hui que tu as tué ta mère. » C’était sûrement celle qui resta graver dans sa mémoire, car même si ce n’était pas la première fois que son père lui lançait des petites remarques désobligeantes, celle-ci fut la pire.
Il alla chercher son oncle Richard et lui raconta le tout. Là, c’en fut trop pour Richard : il se fit à faire des recherches sur la famille de sa défunte belle-soeur et trouva finalement les parents de la jeune femme. Ceux-ci habitait à Acadia en banlieue de la ville. Parfait : de un c’était un bel endroit et de deux, bien sa vie serait bien moins merdique qu’avec son père. Une semaine après son anniversaire, Lucas et Sean quittèrent pour leur nouvelle maison. Dieter, son grand-père était un ancien travailleur de la construction, ancien contremaître pour être plus précis. Wanda, elle, était une ancienne couturière quoi qu’ancienne ne fonctionne pas vraiment car celle-ci passe bien la majorité de son temps à coudre un tas de vêtements. Bref, les deux enfants se firent très rapidement à leur nouvelle vie. Étant déjà trilingue à l’âge de onze ans, le garçonnet qu’il était avait de quoi être fier. Son entré à l’école aussi se fit assez bien malgré qu’il n’était pas un incroyable génie non plus. Il se tenait légèrement sous la moyenne mais passait toujours ses cours, ça il ne fallait pas s’en faire.
Il découvrit aussi le piano. Chez ses grands-parents, il y avait un énorme piano à queue sur lequel Sean s’amusait à inventer des mélodies. Il était doué : il avait l’oreille musicale. Il pouvait entendre n’importe quelle chanson à la radio et il allait devant le piano, touchait deux ou trois touches et puis il vous faisait la mélodie au complet avec quelques essais. C’était inné chez lui, même qu’il n’eut jamais besoin de cours ou besoin d’apprendre à lire la musique, il avait une excellente mémoire donc des dizaines et des dizaines d’idées musicales pouvaient mit en stockage dans sa petite tête et il s’en rappelait très longtemps après. De toute façon, à quoi bon prendre des cours si c’était seulement pour meubler ses soirées puisqu’il vivait loin de ses amis d’école et que ses grands-parents n’aimaient pas prendre la voiture tard le soir. Bon, il y avait toujours sa bicyclette, mais lui et son sens de l’orientation faisait deux. Pas étonnant de savoir qu’il s’égarait presqu’à tout coup si personne ne lui donnait des indication claires et précises.
Bref, durant l’été de ses quatorze ans, son grand-père rendit l’âme au bon Dieu, comme sa mamie disait. Il était décédé durant la nuit, un simple arrêt cardiaque donc pas de douleur. Lucas, quant à lui décida de quitter Acadia pour aller vivre dans la grosse pomme : New York City. C’était compréhensible, il avait dix-neuf ans et d’excellentes notes en mathématique, alors pourquoi pas? Sean se retrouva donc seul avec sa mamie et sa satanée perruche verte. Le jeune homme devait donc se transformer en l’homme de la maison : aider sa mamie à faire le ménage, à faire des rénovations, tondre le gazon, faire le dîner un jour sur deux, etc. C’était bien car Wanda lui donnait de l’argent de poche contre tout les services rendus. Pas qu’un simple dollar ou deux, non la plupart du temps c’était un billet de cinquante ou de cent dollars qu’elle lui donnait pour à peine une heure de travaille. Certes, il était heureux, sauf que de nombreuses fois il gaffa. Dont une fois, sa grand-mère mit bien du temps à lui pardonner. Vous savez, parfois les personnes âgés donnent toute leur affection à un petit animal qui est tout mignon à voir avec un télescope, vous suivez?
D’abord, laissez moi vous parler d’Axel, la perruche verte de sa mamie. C’était un de ses oiseaux que même si vous mettiez la couverture sur la cage, vous pouviez toujours entendre ses cris stridents et ça à toute les heures de la journée et de la nuit. De plus, Wanda n’aimait pas que son petit protégé à plumes soit dans une cage, alors elle la laissait libre dans le salon, ou il y avait le piano... Il fallait également ajouter qu’entre Axel et Sean, s’était la guerre de savoir qui allait mettre l’autre à bout en premier. Parfois l’adolescent faisait exprès de faire des fausses notes au piano ou bien de d’accrocher la cage - car la nuit, Axel dormait dans une petite cage bien simple - au passage dans l’espoir que cet oiseau de malheur allait finalement se la fermer à trois heures du matin. La perruche ne faisait pas que chanter à tue-tête la nuit, non, elle picorait les doigts du jeune homme lorsque celui-ci voulait la remettre dans sa cage le soir, ou lui chiait gentiment sur l’épaule ou sur la tête lorsqu’il jouait du piano... Cette histoire d’amour ce termina bien brusquement. Alors que Sean faisait la ménage dans le salon avec Axel qui volait gaiement au-dessus de sa tête, le jeune homme souleva le fauteuil simplement pour pouvoir passer l’aspirateur sous le meuble. Non, l’oiseau ne passa pas dans le boyau, mais se fit plutôt écraser par le pied du fauteuil. Oops... Voilà se qui arrive lorsque nous sommes trop distrait et que le solo de guitare préférée au jeune homme passe à la radio...Bref, ce n’est qu’un exemple des nombreuses gaffes que Sean faisait tout au long de sa vie et même jusqu’à maintenant. [...]
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